François Lavergne
Dieu lui ouvrit les yeux et elle vit un puits d’eau ; elle alla remplir d’eau l’outre et donna à boire à l’enfant. L’essai impressionne par son souffle libre et sa profondeur existentielle, où chaque digression - du vin au sacré, de la biologie cellulaire au sens de la vie - compose un chant vibrant d’instinct et de résistance. À travers cette écriture torrentielle et intime, où une simple cure de citron devient un acte de renaissance face à la maladie, vous offrez un témoignage d’une lucidité brute, empreint de sagesse et d’un humour discret mais saisissant.